solitude
TagCritique – L’eau du lac n’est jamais douce – Giulia Caminito – Gallmeister
Après le puissant « Un jour viendra » (2021), Giulia Caminito nous offre, avec « L’eau du lac n’est jamais douce », une l…………….LIRE LA SUITE
Critique – Le discours – Fabrice Caro – Gallimard
« Le discours » aurait pu s’intituler « Le dîner ». C’est en effet autour d’un repas familial qu’est construit le roman d…………….LIRE LA SUITE
Critique – Mahmoud ou la montée des eaux – Antoine Wauters – Verdier
Un vieil homme rame au bord d’une barque, juste au-dessus de la maison de son enfance, engloutie pour la bonne cause : la…………….LIRE LA SUITE
Critique – Céleste. Bien sûr Monsieur Proust – Chloé Cruchaudet – Noctambule
Merci à Babelio et à la maison d’édition Noctambule de m’avoir offert cette bande dessinée.
Ceux qui s’intéressent non…………….LIRE LA SUITE
Critique – Guerre – Louis-Ferdinand Céline – Gallimard
Soixante ans après sa mort, trois inédits de Céline ont été retrouvés. « Guerre », écrit en 1934, soit deux ans après la …………….LIRE LA SUITE
Critique – La Tour – Doan Bui – Grasset
Si « Les Olympiades » existe bel et bien, Doan Bui a fait preuve d’une grande imagination pour décrire ce coin du 13e arr…………….LIRE LA SUITE
Critique – 555 – Hélène Gestern – Arléa
C’est en réparant l’étui d’un violoncelle que Gustave Coblence découvre, bien cachée dans la doublure, une partition anci…………….LIRE LA SUITE
Critique – Blizzard – Marie Vingtras – L’Olivier
« Je l’ai perdu » culpabilise Bess après avoir lâché la main de l’enfant alors que le blizzard fait rage.Et ce n’est pas …………….LIRE LA SUITE
Critique – Un Afghan à Paris – Mahmud Nasimi – Les Éditions du Palais
Dans la préface qu’elle lui consacre, la philosophe Ayyam Sureau se demande pourquoi Mahmud Nasimi a opté pour le françai…………….LIRE LA SUITE
Critique – Le parfum des cendres – Marie Mangez – Finitude
Pourquoi Sylvain Bragonard (clin d’œil à la maison Fragonard de Grasse ?) a-t-il abandonné sa vocation de parfumeur de gé…………….LIRE LA SUITE