amour
TagCritique – L’eau du lac n’est jamais douce – Giulia Caminito – Gallmeister
Après le puissant « Un jour viendra » (2021), Giulia Caminito nous offre, avec « L’eau du lac n’est jamais douce », une l…………….LIRE LA SUITE
Critique – La saga des Cazalet – Tome 4 – Nouveau départ – Elizabeth Jane Howard – La Table ronde
Le second conflit mondial est terminé et, avec lui, c’est tout un monde qui s’est effondré. Les Anglais continuent à subi…………….LIRE LA SUITE
Critique – Le discours – Fabrice Caro – Gallimard
« Le discours » aurait pu s’intituler « Le dîner ». C’est en effet autour d’un repas familial qu’est construit le roman d…………….LIRE LA SUITE
Critique – La Tour – Doan Bui – Grasset
Si « Les Olympiades » existe bel et bien, Doan Bui a fait preuve d’une grande imagination pour décrire ce coin du 13e arr…………….LIRE LA SUITE
Critique – 555 – Hélène Gestern – Arléa
C’est en réparant l’étui d’un violoncelle que Gustave Coblence découvre, bien cachée dans la doublure, une partition anci…………….LIRE LA SUITE
Critique – Portrait du baron d’Handrax – Bernard Quiriny – Rivages
Si le baron de Bernard Quiriny n’est pas perché, il est tout aussi original que son prédécesseur, si intelligemment croqu…………….LIRE LA SUITE
Critique – Offshore – Céline Servais-Picord – Le Nouvel Attila
Tout d’abord, je tiens à préciser que je ne suis pas très férue de mythologie nordique, l’un des fils conducteurs de « Of…………….LIRE LA SUITE
Critique – Blizzard – Marie Vingtras – L’Olivier
« Je l’ai perdu » culpabilise Bess après avoir lâché la main de l’enfant alors que le blizzard fait rage.Et ce n’est pas …………….LIRE LA SUITE
Critique – Un Afghan à Paris – Mahmud Nasimi – Les Éditions du Palais
Dans la préface qu’elle lui consacre, la philosophe Ayyam Sureau se demande pourquoi Mahmud Nasimi a opté pour le françai…………….LIRE LA SUITE
Critique – Amour, extérieur nuit – Mina Namous – Dalva
Sarah, la narratrice de ce premier roman de Mina Namous connue pour son blog « Jeune Vie Algéroise », parle d’enchantemen…………….LIRE LA SUITE